Ahmadisme
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Qui sont les Ahmadis ?
« Le mouvement islamique ahmadis est un mouvement messianique moderne. Fondé en 1889 dans la province indienne du Pendjab par Mirza Ghulam Ahmad (1835-1908), il a suscité une controverse extrême dans les cercles islamiques contemporains. Le mouvement ahmadis qui revendique pour son fondateur un certain statut messianique et prophétique a soulevé une très vive opposition au sein des courants principaux de l’islam ; il a été accusé de rejeter le dogme selon lequel Mohamed était le dernier prophète ».1
Les musulmans ahmadis croient que Jésus est tombé dans le coma sur la croix et qu’il s’est ensuite réanimé – et n’est pas ressuscité – dans la tombe.2
D’après l’interprétation des musulmans ahmadis, le Coran enseigne que Jésus a été crucifié mais qu’il n’est pas mort sur la croix.
157Et à cause de leur parole « nous avons vraiment tué le « ‘Iesa, le Messie » (Jésus, le Christ) fils de Maryam (Marie), le messager d’Allah » – Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié mais un autre homme a pris l’apparence de « ‘Iesa »/Jésus (et ils ont tué cet homme) et ceux qui ne sont pas d’accord là-dessus sont remplis de doutes. Ils n’en ont aucune connaissance certaine ; ils ne font que suivre une conjecture. Ils ne l’ont certainement pas tué [le vrai ‘Iesa (Jésus), fils de Maryam (Marie)] : 158Mais Allah l’a élevé (Jésus avec son corps et son âme) vers lui (et il est au ciel). Et Allah est tout-puissant et sage. (An-Nisa 4 : 157-158)
Les Ahmadis enseignent que Jésus s’est réanimé dans la tombe et qu’il est allé en Inde à la recherche des tribus perdues d’Israël. Là, il a pris le nom de Yuz Asaf, a épousé Marie et a eu des enfants. Ensuite, il est mort à l’âge de 120 ans et a été enterré dans le district de Srinagar.
Coran 23 : 503
Les Ahmadis basent leur croyance sur le Coran 23 : 50
50“Et nous fîmes du fils de Marie, ainsi que de sa mère, un prodige ; et nous donnâmes à tous deux [un] asile sur une colline bien stable et dotée d’une source ».
Hazrat Mirza Ghulam Ahmad a commenté ainsi ce verset coranique :
“Il est regrettable que les musulmans, à cause de leur bigoterie et de leur ignorance ne réfléchissent pas convenablement à ce verset. Ils désirent trop vivement voir Jésus descendre du ciel, alors que le Saint Coran atteste qu’il est mort et qu’il a été enterré à Srinagar dans l’état du Kashmir, tel que Dieu tout-puissant l’a dit :
« Nous avons délivré Jésus et sa mère des mains des Juifs et les avons amenés en lieu sûr vers une région de hautes montagnes irriguée par des sources claires. »
C’était le Kashmir. Et c’est pourquoi la tombe de Marie ne se trouve pas en Palestine, et la raison pour laquelle les chrétiens déclarent qu’elle aussi a disparu, comme Jésus. Comme il est injuste de la part des musulmans ignorants de croire que les adeptes du Saint Prophète (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui) sont privés d’échanges avec Dieu, alors qu’en même temps, ils répètent les paroles du Saint Prophète (que la paix et les bénédictions d’Allah soient sur lui) [déclarant] que parmi son peuple, il y en aura qui ressembleront aux prophètes d’Israël, et qu’il y en aura aussi un qui sera prophète d’une part, et disciple du Saint Prophète d’autre part. Il serait celui qu’on appellera le Messie promis. »4
Hadrat Mirza Ghulam Ahmad a declaré faussement :
« Un autre fait incroyable est que l’ancien livre de Yuz Asaf.5 (que la plupart des érudits anglais croient avoir été publié avant la naissance de Jésus), qui a été traduit dans tous les pays européens est si identique aux Évangiles que beaucoup de leurs passages sont similaires. Les paraboles des Évangiles se trouvent aussi mot pour mot dans ce livre. Toute personne lisant ce livre, même si elle était ignorante au point d’être pratiquement aveugle, serait quand même convaincue que les Évangiles ont été empruntés à ce même livre. Certaines personnes, y compris quelques érudits anglais, croient que ce livre émane de Gautama Buddha, et qu’il a été écrit en sanskrit à l’origine, pour être ensuite traduit dans d’autres langues. Si c’est vrai, les Évangiles perdraient toute leur crédibilité et Jésus serait considéré comme un plagiaire dans tous ses enseignement – Que Dieu nous en garde ! – Le livre est disponible pour quiconque veut le voir. Toutefois, mon opinion personnelle est que ce livre est l’Évangile même de Jésus, qui a été écrit pendant son voyage en Inde. J’ai prouvé à l’aide de nombreux arguments qu’il s’agit bel et bien de l’Évangile de Jésus, qui est plus pur et plus saint que les autres Évangiles ». (“Fountain of Christianity”, pp. 9-10)
Il apparaît que « l’Évangile » auquel Mirza Ghulam Ahmad se réfère dans la citation ci-dessus est « Barlaam et Josaphat », version christianisée (écrite plusieurs siècles après l’ascension de Jésus au ciel) de la vie de Siddharta Gautama.6
En outre, on doit conclure que le Yuz Asaf des Ahmadis n’est pas le Jésus de l’histoire, mais une légende.
Est à rejeter aussi la doctrine ahmadis qui identifie Jésus-Christ au saint Yuz Asaf dont le tombeau, considéré comme un lieu saint, est vénéré à Srinagar au Kashmir. Nombre de légendes concernant le Yuz Asaf des Ahmadis sont simplement des extraits empruntés au Kitab Bilawhar wa-Yudasaf, le mot « Kashmir » étant substitué à « Kusinara », lieu où selon la tradition, le Bouddha est mort.7
Jetons un coup d’œil aux faits historiques

1. Le témoignage biblique prouve que Jésus est mort sur la croix.
Jésus a enseigné qu’il mourrait.8
Matthieu 16.21
Jésus commença dès lors à montrer à ses disciples qu’il lui fallait aller à Jérusalem, souffrir beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, être mis à mort et ressusciter le troisième jour.
Les Évangiles rapportent la mort de Jésus sur la croix.
Jean 19.32-35
Les soldats vinrent donc et brisèrent les jambes du premier, puis de l’autre qui avait été crucifié avec lui. Arrivés à Jésus et le voyant déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt, il en sortit de l’eau et du sang. Celui qui l’a vu en a rendu témoignage et son témoignage est vrai ; et lui, il sait qu’il dit vrai, afin que vous croyiez, vous aussi.
L’apôtre Jean a été un témoin oculaire de la mort de Jésus sur la croix.
Jean 19.16-30
Alors, il le leur livra pour être crucifié. Ils prirent donc Jésus et l’emmenèrent.
Jésus, portant sa croix, sortit (de la ville) vers le lieu appelé : le Crâne, qui se dit en hébreu : Golgotha. C’est là qu’ils le crucifièrent, et avec lui, deux autres, un de chaque côté, et Jésus au milieu.
Pilate fit aussi un écriteau qu’il plaça sur la croix. Il y était inscrit : « JÉSUS DE NAZARETH, LE ROI DES JUIFS. »
Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau parce que l’endroit où Jésus fut crucifié était près de la ville : l’inscription était en hébreu, en latin et en grec. Les principaux sacrificateurs des Juifs dirent à Pilate : N’écris pas : « Le roi des Juifs » ; mais : « [Cet homme] a dit : ‘Je suis le roi des Juifs.’ » Pilate répondit : Ce que j’ai écrit, de l’ai écrit.
Les soldats, après avoir crucifié Jésus, prirent ses vêtements, et ils en firent quatre parts, une part pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique, qui était sans couture, d’un seul tissu depuis le haut jusqu’en bas. Ils dirent entre eux : Ne la déchirons pas, mais que le sort désigne celui à qui elle sera. C’était afin que s’accomplisse l’Écriture : « Ils se sont partagé mes vêtements et ils ont tiré au sort ma robe. »
Voilà ce que firent les soldats.
Près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas et Marie-Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et debout auprès d’elle le disciple qu’il aimait dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis, il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et dès cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, Jésus, qui savait que déjà tout était achevé, dit, afin que l’Écriture soit accomplie : « J’ai soif. » Il y avait là un vase plein de vinaigre. On fixa à une tige d’hysope une éponge imbibée de vinaigre et on l’approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis il baissa la tête et rendit l’esprit.
Pilate a affirmé que Jésus était mort.
Marc 15.42-45
Le soir était déjà là, et comme c’était la préparation, c’est-à-dire la veille du Sabbat, Joseph d’Arimathée, membre distingué du conseil, qui lui-même attendait aussi le royaume de Dieu, arriva. Il eut le courage de se rendre chez Pilate pour lui demander le corps de Jésus. Etonné qu’il soit déjà mort, Pilate fit appeler le centurion et lui demanda s’il était mort depuis longtemps. Renseigné par le centurion, il donna le corps à Joseph.
2. Le témoignage de la médecine atteste que Jésus est mort sur la croix.
Le poids des preuves historique et médicale indique clairement que Jésus était mort avant qu’on ne lui inflige la blessure au côté, et soutient le point de vue traditionnel selon lequel l’épée s’est enfoncée dans sa côte droite, en perforant probablement non seulement le poumon droit mais aussi le péricarde et le cœur, assurant ainsi sa mort. Par conséquent, les interprétations basées sur l’hypothèse que Jésus n’est pas mort sur la croix paraissent en contradiction avec les connaissances de la médecine moderne.9
3. Les témoignages historiques démontrent que Jésus est mort sur la croix.
- Josèphe (historien juif né environ en 37 de l’ère chrétienne et mort en l’an 100 mentionne la mort de Jésus (Antiquités juives, 18.3.3).
- Tacite (55-120 de l’ère chrétienne), historien réputé de la Rome antique a écrit vers l’an 115 que Christ a été « exécuté » par Pilate (Annales 15.44).
- Les premiers ennemis du christianisme (par ex. Celse et Lucien) ont admis que Jésus avait été mis à mort.
4. Mirza Ghulam Ahmada fait appel à des preuves non fiables lorsqu’il a rejeté le fait de la mort de Jésus sur la croix.
Mirza Ghulam Ahmad a déclaré faussement :
« Dans l’Évangile de Barnabé, il est écrit qu’il n’a pas été mis sur la croix et qu’il n’était pas mort dessus. Nous pourrions bien souligner que, bien que ce livre ne soit pas inclus dans les Évangiles et qu’il a été rejeté sommairement, il ne fait aucun doute que ce soit un livre ancien qui a été écrit en même temps que les autres Évangiles. Par conséquent, ne pouvons-nous pas voir ce livre comme une ancienne chronique et l’utiliser comme un document historique ? Et ne pouvons-nous pas conclure, à partir de ce livre, qu’à l’époque où a eu lieu l’événement de la croix, il n’y avait pas unanimité parmi les gens à propos de la mort de Jésus sur la croix ? » (Jesus in India, pp. 22-23)
La réponse simple et historique aux questions de Mirza Ghulam Ahmad est « non ». L’Évangile de Barnabé n’a pas été écrit par le Barnabas qui a vécu au premier siècle de notre ère. Effectivement, cet ouvrage semble avoir été écrit au 16ème siècle de notre ère ; « l’Évangile [de Barnabé] est considéré par la majorité des érudits (y compris chrétiens et quelques musulmans) comme tardifpseudépigraphe… »(Wikipédia).
« On a montré que l’Évangile de Barnabé a ses origines dans le monde méditerranéen occidental, probablement en Espagne, au 16ème siècle. »10
L’Évangile de Barnabé est un exemple de la falsification islamique des Écritures (tahrif) en une tentative de réécrire les Évangiles chrétiens qui donnent un récit véridique de la vie de Jésus.
« Le soi-disant Évangile de Barnabé est, par définition, un faux ».11
Conclusion
Mirza Ghulam Ahmad est un faux Messie parce qu’il a nié le fait historique de la mort de Jésus sur la croix. Jésus, le vrai Messie, a donné des avertissements concernant des hommes tels que Mirza Ghulam Ahmad :
Matthieu 24.4-5
Prenez garde que personne ne vous séduise, car plusieurs viendront sous mon nom, en disant : c’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens.Matthieu 24.23-26
Si quelqu’un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là, ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, ils opèreront de grands signes et des prodiges au point de séduire si possible même les élus. Je vous l’ai prédit. Si donc on vous dit : Voici : il est dans le désert, n’y allez pas ; voici : il est dans les chambres, ne le croyez pas.
Ami, considérez ces choses dans un esprit de prière et lisez l’Évangile selonMatthieu.12Je vous invite à embrasser le christianisme en tant que vérité et unique voie de salut. Jésus a dit : « C’est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas que Moi je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8.24). Croyez en Jésus et soyez baptisé pour le pardon de vos péchés et vous pouvez avoir la certitude que vous hériterez de la vie éternelle. Cette certitude s’enracine dans ce que Dieu a fait dans le monde réel, en rapport avec la mort de Jésus sur la croix, son ensevelissement, sa résurrection et son ascension au ciel.
Vous pouvez aussi être intéressé à en apprendre davantage sur :
La mort de Jésus sur la croix et le Coran
Ce que chaque Musulman devrait savoir au sujet de la Bible et de l’Injil
Footnotes
- Yohanan Friedmann, « Ahmadiyya ». Encyclopaedia of the Qur’ān. Éditeur général : Jane Dammen McAuliffe [Leiden et Boston : Brill, 2005], version CD-ROM
- « Résurrection »- le mot utilisé dans la Bible pour décrire ce qui est arrivé à Jésus après sa crucifixion, sa mort et son ensevelissement se réfère à l’événement surnaturel de la mort en situation de défaite. Il se réfère à la continuation de l’existence du même corps physique de Jésus et de son âme dans le processus de vie, de mort et d’une nouvelle vie glorifiée après la mort. Ce qui est arrivé à Jésus après sa mort sur la croix et son ensevelissement – la « résurrection » – était une œuvre miraculeuse de Dieu. La « résurrection » se produira pour tout le monde au jour du jugement final, mais seuls ceux qui auront été sauvés de leurs péchés par le sang de Jésus seront glorifiés et vivront dans les nouveaux cieux et la nouvelle terre (Apocalypse 20.11 – 22.21).
- Le découpage en versets du Coran par les Ahmadis est légèrement différent. Dans la version ahmadis du Coran, c’est Coran 23 : 51 et non pas verset 50.
- The Essence of Islam, Vol. III par Hazrat Mirza Ghulam Ahmad, pp. 136 et svt. Cité aussi dans “With Love To Muhammad The Khatam-un-Nabiyyin: The Ahmadiyya Muslim Understanding of Finality of Prophethood” par Farhan Iqbal et Imtiaz Ahmed Sra, p.338
- Yuz Asaf est le nom que Mirza Ghulam Ahmad a donné à Jésus après qu’il eut supposément émigré en Inde.
- « Les documents utilisés par Ahmad ont été examinés par le spécialiste allemand de l’Inde, Günter Grönbold, dans son ouvrage Jésus en Inde. Das Ende einer Legende (Munich, 1985). Et Grönbold conclut que Ahmad a mal identifié le contenu des textes de Barlaam et Josaphat se rapportant à une version christianisée de la vie de Siddharta Gautama, et non de Jésus.
Un autre érudit allemand, Norbert Klatt a examiné dans son ouvrage Lebte Jesus in Indien ? (1988) les mêmes textes sources musulmans et chrétiens et est arrivé aux mêmes conclusions que Grönbold ». Contributeurs de Wikipedia (12 septembre 2018). Jesus in India (book). Extrait de Wikipedia, the Free Encyclopedia, consulté le 11 septembre 2019 par - Lang, D.M., « Bilawhar Wa-Yudasaf » dans Encyclopaedia of Islam, Seconde Édition ; publié par : P. Bearman, Th. Bianquis. C.E. Bosworth, E. van Donzel. W.P. Heinrichs.
- Les Évangiles chrétiens (Matthieu, Marc, Luc et Jean) ne doivent pas être confondus avec l’Injeel coranique (voir Coran 5 : 46-47 ; 57 : 27). Le Coran parle de l’Injeel en tant que livre saint envoyé du ciel à Jésus qui l’a donné à ses disciples. Aucun livre de ce genre n’a jamais été donné à Jésus ni à ses disciples. L’Injeel coranique (livre reçu du ciel par Jésus) n’existe pas et n’a jamais existé. Les chrétiens ont 4 Évangiles mais ils ne doivent pas être confondus avec l’Injeel coranique. Pour en savoir davantage, voir “« Ce que chaque Musulam doit savoir à propos de la Bible ».”
- William D. Edwards. MD; Wesley J. Gabel, M. Div.; Floyd E. Hosmer, MS, AMI; “On the Physical Death of Jesus Christ” ; Journal of the American Medical Association, 21 mars 1986, vol. 255, 1463.
- « Évangile », Encyclopaedia of the Qur’ān – Éditeur : Jane Dammen McAuliffe; Brill [Leiden et Boston], 2005 version CD ROM
- Jan Slomp, The Gospel of Barnabas in Recent Research
L’Évangile de Barnabé a été particulièrement influent au Pakistan ;
En janvier 1973, Muhammad ‘Ata ur-Rahim, aidé par K.A. Rashid a lancé une campagne pour répandre l’Évangile de Barnabé au Pakistan.
En 1973, Mirza Masum Beg du mouvement ahmadis a publié la version anglaise de l’Évangile de Barnabé.
En 1974, l’Évangile de Barnabé a été traduit en Urdu.
Entre 1973-1974, le Pakistan Times a imprimé le texte de l’Évangile en 9 épisodes. (Slomp, Jan, “The Gospel of Barnabas”, dans : Christian-Muslim Relations 1500-1900, Édition David Thomas.
- Les chrétiens ont quatre Évangiles – Matthieu, Marc, Luc, Jean – et il ne faut jamais les confondre avec l’Injeel coranique. L’Injeel coranique n’existe pas et n’a jamais existé. Pour en savoir plus, voir « Ce que chaque musulman doit savoir à propos de la Bible. »